Les marques sur Tortues-Rapides
Formes Berlin mise sur une philosophie entièrement axée sur la responsabilité de l'environnement. Dans la mesure du possible, des matériaux recyclés et/ou certifiés sont utilisés pour les produits. L'emballage, quant à lui, utilise uniquement des bioplastiques (PLA). Pour couronner le tout, Formes Berlin utilise de l'électricité verte pure dans toute l'entreprise. L'entreprise collabore avec des ateliers pour personnes handicapées en cas de forte demande de production.
Diplomat est une entreprise historiquement allemande créée en 1922 sous le nom de Hennefer Schreibwarenfabrick Räuchle. Elle devait à ses débuts produire des articles de papeterie, comme son nom l’indique. Elle s’est par la suite spécialisée. Les premiers stylos-plume fabriqués et vendus sous cette marque, apparaissent dans les années 50. A l’époque, le stylo est un produit courant de grande consommation. Diplomat fût une des premières sociétés allemandes à introduire la cartouche dès la fin du brevet de Gif Waterman en 1953.
Diplomat est repris en 1981 par une société de Stuttgart, Imco. De nouveaux modèles sont alors développés dans les années 80 notamment les modèles « Epoque » « Attaché » « Embassy » et « Lord ». Diplomat a été dans les années 90 fabricants pour des marques comme Camel ou Kaweco. Il produit toujours pour des grands noms du luxe, preuve de la qualité de son outil industriel et de la compétence de ses équipes.
L’entreprise possède en outre une spécialité dans le traitement des surfaces et le flammage. Elle est désormais propriété d’une entreprise française et la production est toujours réalisée en Allemagne.
Visconti est une société toscane créée en 1988 par Dante del Vecchio et Luigi Poli, deux italiens passionnés de stylos plume. La société s’installe à Florence dans une villa dont le propriétaire n’est autre qu’un vicomte. Ainsi est né le nom de la marque. C’est la découverte d’un stock ancien de celluloïd, le graal pour beaucoup d’amateurs de stylos, qui a donné l’idée à ces deux passionnés de créer leur propre marque. Visconti et Dante Del Vecchio vont amasser des connaissances techniques sur la matière et donner lieu aux dépôts de brevets. Visconti crée des modèles originaux inspirés des années 20 et 30, âge d’or des stylos. Le celluloïd aux multiples couleurs ainsi que l’or légèrement mat complètent le style de la marque.
En 1992, deux collectionneurs américains Ed Fingermann et Jon Messer tombent sous le charme de la marque et créent une société pour en assurer la distribution aux États-Unis, Writing Design. L’essor en Amérique du Nord va permettre à la marque de se développer. Les États-Unis restent un marché très important pour cette marque. La société innove en 1993 avec un système d’eye dropper qui permet de loger une grande quantité d'encre, plus de 6 cartouches. En 1994, le réservoir à double obturation d’arrivée d’encre permet de passer à 10 cartouches de contenance en conservant une quantité d’air suffisante pour que le stylo ne fuit pas en avion.
Le temps de fabrication est long, environ huit mois. Le celluloïd a besoin de vieillir avant d’être utilisé. Le matériau ne peut pas être moulé par injection contrairement à la résine. Le corps des stylos plumes est tourné à partir de barre ou roulé à partir de feuilles laminées. Ponçage, perçage, montage sont aussi réalisés à la main. Les premiers modèles qui sortent dans les années 90 sont le Michelangelo, l’Alhambra, le Ponte Vecchio et le Ragtime II.
Aujourd'hui Visconti réalise de nombreuses séries limitées, avec des collections marquantes telles que les Homo Sapiens, Mirage Mythos ou Rembrandt-S. Chaque stylo Visconti s'inspire d'une histoire, d'un personnage, d'une grande création. Visconti nous fait voyager dans le temps et dans le monde. Du Taj Mahal à la Cité interdite, de Van Gogh à Dante Alighieri et de l'archéologie à l'astronomie. Un grand hommage pour ces stylos faits pour durer des années, à la culture humaine et l'aventure de l'humanité tout en innovant sans cesse dans de nouveaux procédés et systèmes toujours plus sophistiqués.
Une idée n’existe que si elle est écrite : les paroles s’envolent, les écrits restent. Un carnet de KEMPEN recueille, retient précieusement et restitue. C’est votre vie couchée sur du papier. N'attendez plus, bienvenu chez de KEMPEN ! Dans un monde où tout est rangé dans des dossiers numériques, sauvegardé dans le cloud ou stocké sur un disque dur, la marque mise sur la tangibilité des mots couchés sur le papier. C’est ainsi qu’est né leurs nouveaux carnet de notes.
Les carnets conviennent à chacun. Aux dessinateurs comme aux écrivains. Aux rêveurs et aux planificateurs. Aux inconditionnels du papier et aux novices. C’est votre vie au format de poche. Votre potager n’a pas sa place dans un tableur excel. Par contre, dans un tel carnet, qui garde même une trace des taches de terre. Tout est parfait. Instagram n’est pas un journal de voyage, contrairement à un carnet de notes : dessinez, coller, écrivez, conserver, revivez vos meilleurs moments de voyages. Remémorez-vous des souvenirs. Vous aimez expérimenter en cuisine ? Votre carnet fait déjà partie du patrimoine familial. Et les premiers mots de votre bébé ? consignés à la page 34 de votre carnet de naissance. Chaque moment de la vie est un privilège. Prenez-en soin, avec un carnet de KEMPEN.
The DM Collection c'est l'œuvre de Daniel Mackie, illustrateur indépendant. Après quinze ans en tant qu'illustrateur commercial, Daniel aura perdu sa passion pour l'illustration : « à l'époque, j'avais simplement l'impression de connecter les points pour chaque directeur artistique pour qui je travaillais. Le feu s'était éteint ». En suivant son cœur, le travail de Daniel a aujourd'hui plus d'authenticité que jamais auparavant. Et c'est pour s'adapter qu'il créa The DM Collection. Aujourd'hui la marque est désormais disponible dans plus de 400 points de vente au Royaume-Uni et à l'international. Et son succès ne fait que commencer !
Le typographe est un petit coléoptère qui vit sous l’écorce des épicéas en creusant un dédale de galeries tortueuses évoquant des lignes d’écriture. C’est ainsi que Cédric Chauvelot, ancien élève des Beaux-Arts de Besançon et passionné de typographie, vont faire de ce petit insecte l’emblème de son entreprise et de sa marque. Le Typographe devient donc une marque en 2009, avec l'ouverture d'un atelier-boutique à Bruxelles. Aujourd’hui, on trouve leurs produits dans plus de 600 boutiques, papeteries et concept stores à travers le monde. Le Typographe compte huit employés seulement. Tous les produits sont conçus et manufacturés à la main de manière artisanale dans l’atelier bruxellois.